Genodics et la génodique
Toutes les réponses à vos questions
Comment Genodics et la génodique peuvent favoriser la croissance des plantes maraichères, des vignes, des arbres fruitiers, des animaux et réduire l’impact des maladies ?
Comment Genodics et la génodique peuvent aider le maraichage en polyculture bio ?
Après avoir mis au point des applications du procédé génodique sur des monocultures (salades, tomates, concombres) nous avons commencé à travailler en polyculture en 2015, sous serre et en plein air. Le procédé génodique permet de réduire l’impact de virus, bactéries et champignons, et de stimuler différents métabolismes des plantes au fur et à mesure des besoins. L’agriculteur joue un rôle important car c’est lui qui doit détecter rapidement les besoins éventuels de ses plantes, pour décider de la séquence de « protéodies » à diffuser chaque jour. Nous fournissons à nos clients les suites de protéodies pertinentes au fur et à mesure de l’apparition des besoins. Elles durent généralement de 5 à 10 mn, à diffuser de 1 à 3 fois par jour. Nos appareils de diffusion sont programmables.
Comment Genodics et la génodique peuvent réduire l'usage des pesticides ?
– des résultats importants les années où la météo n’est pas favorable à ces pathogènes (mais ce sont aussi des années où la consommation de produits chimiques est faible) ;
Comment Genodics et la génodique peuvent permettre à vos cultures et élevages de mieux résister à la chaleur ?
Comment Genodics et la génodique peuvent réduire l'impact des insectes "ravageurs" sur les plantes ?
Comment Genodics et la génodique peuvent réduire l'impact des insectes xylophages ?
Pour les plantes vivantes, ce que nous pouvons faire, c’est renforcer leur production de molécules de défense contre les insectes, quand leur génome sait le faire (ce qui n’est pas toujours le cas).
Les dégradations des arbres sont souvent le fait de vers provenant des œufs apportés par des insectes. Même si nous trouvions des protéines de ces vers dont l’inhibition pourrait perturber leur développement, pour avoir un effet significatif, il faudrait les diffuser pendant des durées beaucoup plus longues que ce qui est nécessaire pour des microorganismes. Pour pouvoir le faire sans perturber l’environnement, il faudrait alors installer des diffuseurs à conduction solide sur chacun des arbres concernés. C’est faisable mais coûteux. En pratique, ce n’est envisageable que pour des arbres ornementaux importants (grands arbres dans des parcs) ou historiques (platanes du Canal du Midi).
Nous agissons plus facilement sur les « maladies » impliquant des virus, des bactéries, ou des champignons, car nous pouvons alors réguler les interactions entre l’organisme (vivant) et ses pathogènes.
Quelles sont les solutions standards Genodics pour traiter les plantes avec des protéodies ?
– L’environnement : le terrain sur lequel elle se trouve et son état plus ou moins dégradé, l’historique de la plante depuis sa plantation, le climat habituel de la région et de la période considérée, la météo du moment…
– Les pathogènes : il peut s’agir de bactéries, de champignons ou de virus qui, profitant d’une conjoncture favorable, se développent trop au détriment de la plante et perturbent alors son fonctionnement, plus ou moins fortement.
Devant le nombre des combinaisons possibles de tous ces facteurs, on voit qu’il est difficile de proposer des solutions standard. Seules les maladies endémiques (bien implantées et récurrentes) le permettent (l’esca de la vigne, la mosaïque des tomates ou des courgettes, …). Mais même dans de tels cas, le cultivateur doit rester attentif à l’évolution de ses plantes et adapter le nombre des diffusions journalières de protéodies à leurs besoins.
La génodique en quelques mots…
De 50% à 90% en moins de maladies sur vos cultures et élevages !
Maladies, gel, chaleur, stress hydrique…
Nos équipes vous expliquent et vous guident pour mettre en place notre technologie.