La découverte de la génodique par Joël Sternheimer
La génodique est une science qui étudie les effets de certaines mélodies sur les organismes vivants. Elle fut initiée par Joël Sternheimer dans les années 80.
Aujourd’hui, Genodics et ses mélodies de protéines viennent en aide aux viticulteurs, arboriculteurs, maraichers, éleveurs pour réduire les pertes dues aux maladies de leurs vignes, arbres fruitiers, plantes maraîchères et animaux !
Joël Sternheimer et la génodique
Spécialiste de physique quantique et artiste musicien, Joël Sternheimer est à l’origine d’une nouvelle science qu’il a nommé la génodique. Elle étudie les aspects harmoniques des organismes vivants, et leurs applications pratiques. Ses premières études en physique remontent à la fin des années 60.
Ses travaux montrent qu’il est possible de soigner et de renforcer les plantes ainsi que les animaux d’élevage en leur faisant écouter certaines mélodies.
Les chercheurs de la société Genodics et leurs partenaires continuent d’explorer les pouvoirs de ces mélodies particulières sur différents processus biologiques, dans le but de proposer de nouvelles thérapies efficaces et non-invasives.
Les très nombreux résultats obtenus lors d’expériences effectuées sur des dizaines d’espèces végétales et animales, et maintenant appliqués dans de nombreux domaines, nous permettent d’espérer parvenir à des applications en santé humaine.
Genodics vous raconte l’histoire de la découverte de la musique des protéines.
Particules et mélodies élémentaires
La musique des protéines
En explorant les fréquences des ondes des différents niveaux d’organisation de la matière, Joël Sternheimer en constate l’harmonie, au sens musical du terme. Des ondes permettent aux différentes cellules de communiquer entre elles. À l’aide d’équations de la physique quantique, il calcule ces diverses fréquences et révèle l’existence de ce qu’il nomme des “ondes d’échelle ». Celles-ci relient les échelons de la matière inerte et vivante.
Les conséquences de cette découverte sur le monde du vivant sont extraordinaires. Dans chacune de leurs cellules, les organismes vivants produisent, consomment, activent et inhibent sans cesse des molécules en tout genre, et ces processus sont en partie régulés par des ondes.
Une famille particulièrement importante de molécules des organismes vivants sont les protéines. Elles assurent toutes les fonctions métaboliques et physiologiques, et garantissent ainsi le bon fonctionnement des cellules et des organes.
A partir de l’année 1985, il étudie donc la synthèse des protéines. Les résultats de ces recherches montrent que les acides aminés qui composent les protéines émettent des signaux physiques. Chacune de ces 20 molécules émet une onde unique dont la vibration correspond à une note musicale précise. Chaque protéine, formée par une séquence particulière d’acides aminés plus ou moins longue, peut donc être représentée par une partition musicale inédite. Il est possible de reproduire ces mélodies sur un instrument de musique.
Il existe autant de mélodies protéiques que de protéines. Les découvrir fut la prochaine étape des travaux entamés par les chercheurs. Ces chants des protéines furent baptisés « protéodies ».
À l’écoute des premières protéodies, Joël Sternheimer ressentit des effets bizarres : comme si son organisme reconnaissait certaines d’entre elles, qui lui faisaient du bien. André Lichnerowicz, académicien qui suivait ses travaux, lui dit : « la musique, c’est important, il faut que vous approfondissiez cela ». Il se mit donc à explorer les effets de ces protéodies sur les organismes vivants.
Les plantes ressentent et réagissent à la musique
Les expériences menées sur plusieurs espèces de plantes montrent qu’elles réagissent bel et bien à certaines musiques. En fonction des protéines nécessaires à leur équilibre, les plantes, en écoutant les mélodies auxquelles elles sont sensibles, fabriquent plus de molécules favorables à leur métabolisme et inhibent celles néfastes à leur santé.
Ainsi, certains végétaux sont plutôt sensibles à des mélodies évoquant du Mozart, d’autres à du Beethoven ou du Chopin.
Ces découvertes sont une véritable révolution dans notre compréhension des organismes vivants et de la matière en général.
La musique ne serait donc pas une activité exclusivement humaine, mais un art universel qui appartient au monde vivant et inerte dans son ensemble.
» La génodique est une voie d’avenir pour les viticulteurs, les arboriculteurs, les maraîchers, les éleveurs et les pisciculteurs, ainsi que pour tous les processus industriels mettant en œuvre des microorganismes vivants. «
Grâce aux protéodies, ils peuvent produire plus et mieux dans le respect total de la planète et du vivant.